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S'engager au Secours Catholique
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Bienvenue au Secours Catholique-Caritas France
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Vous souhaitez rejoindre les plus de 60 000 bénévoles de l’association, hommes et femmes de tout âge, et partager avec nous un bien précieux : votre temps. C’est une formidable nouvelle !


Ouvert à tous, sans distinction de nationalité, de condition sociale ou de confession, le Secours Catholique-Caritas France fonde son action sur l’Evangile, c’est-à-dire cette conviction profonde que chacune et chacun compte, que la vie a une valeur infinie et que nous avons tous des talents à partager. Ce qui nous rassemble, qui que nous soyons, c’est le désir de fraternité et de solidarité.


Aucune compétence particulière n’est requise. Vous serez accompagné.e dans votre engagement sur le terrain par d’autres bénévoles plus aguerris et serez formé.e  localement pour enrichir vos compétences, développer vos talents et partager avec d’autres. La convivialité sera au cœur de chacune des rencontres que vous allez vivre.


S'engager au Secours Catholique Caritas France, c’est aussi avoir l’exigence de porter ensemble un projet associatif ambitieux, et vouloir résolument :
 

  • Lutter contre la pauvreté avec ceux qui la vivent,
  • Valoriser la parole et les talents de chacun,
  • Développer des actions basées sur l’entraide et la fraternité,
  • Donner envie à d’autres de s’engager,
  • Agir, se former et réfléchir en équipe.

 

Bénévolat au Secours Catholique
© Christophe Hargoues / Secours Catholique-Caritas France 
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Les différentes manières de s’engager
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Devenir bénévole

S’engager au Secours Catholique-Caritas France, c’est d’abord vouloir agir près de chez soi, avec celles et ceux dont la vie est meurtrie pas des situations difficiles. C’est aussi être associé au dynamisme d’une organisation présente sur tout le territoire, dans nos villes et nos villages, avec des équipes locales et des acteurs qui soutiennent le fonctionnement de l’association.

Vous pouvez avoir plus ou moins de temps à consacrer, faire le choix de rejoindre une action régulière ou apporter un appui ponctuel sur un événement. Vous pouvez être en recherche d’une expérience de service et de solidarité ou porter un projet personnel en construction. La très grande diversité de ce qui est vécu au Secours Catholique-Caritas France vous permettra de découvrir comment vous épanouir en apportant le meilleur de vous-même.

Bénévolat régulier ou ponctuel, volontariat (service civique) ou stages, voici quelques exemples d’engagement dans notre délégation :

 

  • Accueillir, écouter les personnes en précarité; participer à des tournées de rue ; accompagner les personnes sans-domicile.
  • Accompagner des enfants et adolescents dans leur scolarité; accueillir un enfant pour les vacances ; proposer des vacances aux familles.
  • Accueillir dans une boutique solidaire.
  • Soutenir la recherche de logement digne et durable ; soutenir les personnes concernées par la précarité énergétique.
  • Favoriser l'insertion des personnes.
  • Accompagner les détenus et leur famille.
  • Devenir bénévole pour l’équipe Communication ; soutenir la réalisation des statistiques d'accueil ; devenir trésorier d'équipe ; devenir bénévole au sein du service Formation.
  • Aider à l’accueil et au secrétariat.
  • Participer à la collecte nationale.

 

Devenir salarié

Le Secours Catholique-Caritas France, employeur associatif du secteur de l’Économie sociale et solidaire (ESS), propose un environnement de travail riche en relations avec près de 950 salariés et 67 900 bénévoles engagés, contribuant chaque jour à la réussite de nos missions.

Découvrez toutes nos offres d’emplois dans les différentes directions du siège à Paris ainsi que dans toutes nos délégations.
 

VOIR NOS OFFRES D'EMPLOI
 

 

Travailler au Secours Catholique
© Gael Kerbaol / Secours Catholique-Caritas France 
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Nos bénévoles témoignent
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LOUnis : « Le monde, c’est comme ça que je le vois : il faut qu’il y ait de toutes les couleurs, toutes les religions, c’est comme ça qu’il va marcher,  avec une union entre les gens ! »

Lounis vit en France depuis deux ans, il est étudiant à l’université d’Orléans. Il raconte son parcours et son engagement au Secours Catholique.
Un étudiant francophile et très investi… dans la tourmente de la crise Covid
« J’ai appris les langues étrangères en Algérie, au lycée et à l’université : j’aime surtout le français depuis tout jeune, car en Kabylie, ça se pratique beaucoup, historiquement ! Là, je finis ma licence de littérature française à l’université d’Orléans. C’était un peu compliqué pour suivre les études avec les cours en distanciel, faire des contacts avec des étudiants français, car il n’y a pas eu de fête pour faire connaissance.
« Nous les étudiants algériens, on n’a aucun système de bourse, donc je travaillais en parallèle dans un restaurant pour payer mon loyer et vivre pendant mes études. Mais avec le Covid, quand ils ont fermé les restaurants, j’étais au chômage partiel, j’avais du temps et j’ai cherché sur les applis pour faire du bénévolat ; j’ai connu la Protection civile et le Secours Catholique à travers la plateforme jeveuxaider.gouv. À la Protection civile, ils m’ont formé, j’ai obtenu le diplôme de secouriste et j’aidais à faire des tests PCR à l’hôpital de La Source et dans les EHPAD. Il faut dire que depuis mon adolescence, je suis plongé dans le monde associatif : en Algérie, j’ai été président d’une association d’animation culturelle (danse, poésie, théâtre), d’une association éducative de soutien scolaire d’enfants, et entraîneur de foot pour les jeunes et enfants, et ici en France, depuis que je suis arrivé, j’ai fondé une association, l’« Union des jeunes étudiants solidaires » qui a pour objet d’aider les personnes âgées dans les EHPAD, leur faire des courses, surtout pendant la crise sanitaire.
Engagé auprès des plus démunis
« Le Secours Catholique, je le connaissais déjà, car il nous avait aidés, en tant qu’étudiants étrangers ; il nous avait donné de la nourriture pendant le premier confinement. J’ai donc intégré le Secours Catholique en mars 2021, ils cherchaient un bénévole aux Murlins (l’antenne locale du Secours au centre d’Orléans). Comme j’étais déjà dans le bain avec ma mission à la Protection civile, j’ai accepté la mission de responsable sanitaire. J’ai rameuté 4 ou 5 étudiants pour former une équipe. On s’occupe des douches pour les gens sans abri, on les aide à respecter les gestes barrières, on leur donne les serviettes, du savon… Ce sont des personnes d’origine étrangère, souvent arabes, et ce qui me plaît le plus dans cette activité, ce n’est pas seulement les douches, c’est la communication : on essaye de les mettre à l’aise, comprendre leurs problèmes, on connaît leur langue, et donner un sourire pour quelqu’un, c’est extraordinaire.
Musulman au Secours Catholique, et alors ?
« Il y a des gens qui me disent : « C’est bizarre, tu es musulman et tu travailles au Secours Catholique ? » Moi je respecte tout le monde, peut-être parce que je viens de Kabylie, il y a de tout là-bas : des chrétiens, des musulmans, des laïcs, des bars, des mosquées, des églises ! Et ici, au Secours Catholique, c’est pareil : ils sont ouverts à tout le monde, ne travaillent pas seulement pour les chrétiens ! Les gens ici, ils sont gentils, serviables, ils écrivent les lettres pour les personnes qui viennent, ils sont accueillants. C’est ce qui me pousse à rester ici au Secours Catholique, bien que j’aie repris le travail ; ça me plaît vraiment. »
 

Maryvonne : « Je me suis dit : "Ma place est avec ces gens-là". »

C’est il y a dix ans, dans le cadre d’une association d’aide aux femmes prostituées, que Maryvonne découvre le projet « Sortie du bois » créé par le Secours Catholique en vue de reloger les personnes qui ont élu domicile dans le Bois de Vincennes. « Il y avait alors des abris de jardin convertis en logis. L’un d’eux était occupé par un couple, Monique et Thierry. Ils m’ont fait asseoir chez eux, m’ont servi du café. Je me suis tout de suite sentie bien. Je me suis dit : “Ma place est avec ces gens-là.” » Depuis, Maryvonne vient une à deux fois par semaine arpenter les allées du Bois pour prendre des nouvelles de ceux qui l’habitent. « Ils ne nous demandent rien de matériel. Juste des renseignements, une adresse pour des soins, un vestiaire. Et une écoute. Ce sont des gens fidèles, avec qui j’ai tissé des histoires. Ces maraudes me rendent heureuse et m’aident à vivre. » 

 

Nadia : « Cet engagement m’est nécessaire. Il me tire de mon quotidien, me redonne confiance en moi. »

Ma P’tite Échoppe a ouvert début 2019 en région parisienne sous l’impulsion du Secours Catholique. Cette épicerie d’un genre nouveau, qui fonctionne grâce à des adhérents actifs, propose des produits de qualité à des prix adaptés aux ressources de ses clients. Nadia, une maman de quatre enfants arrivée du Maroc à l’âge de 14 ans, en fait partie depuis la première heure. Elle a même participé à la conception du projet, à l’époque où des difficultés financières l’ont amenée à fréquenter l’ancienne épicerie solidaire du Secours Catholique dans le quartier. « J’étais là lors de l’installation. Nous n’étions pas nombreux. Ce n’est qu’après l’ouverture que des bénévoles se sont proposés. » Aujourd’hui, Nadia anime des ateliers cuisine et fait partie du service achats. « Cet engagement m’est nécessaire, dit-elle. Il me tire de mon quotidien, m’aère et me redonne confiance en moi. » 

 

Lynda : « J’ai l’impression de me reconnaître dans ces gens qui vivent ce que j’ai traversé. »

Tous les mercredis après-midi, Lynda assure l’accueil des personnes qui frappent à la porte du Secours Catholique de Roubaix. Pour cette maman arrivée d’Algérie en 2014 avec son mari et ses deux enfants, ce n’est pas rien de se retrouver de l’autre côté. « J’ai l’impression de me reconnaître dans ces gens qui vivent ce que j’ai traversé. » À savoir : un long parcours administratif et juridique pour régulariser peu à peu la situation de la famille, obtenir un titre de séjour et une autorisation de travail, trouver un logement digne, et commencer à rêver d’une maison. Aujourd’hui, Lynda entame une formation, son mari a pu reprendre son métier de mécanicien en CDI et les deux enfants réussissent bien en classe. L’aînée souhaite devenir avocate. Un jour sans doute pourra-t-elle, comme sa maman, venir en aide à ceux qui traversent des difficultés qu’elle connaît bien. 

 

Bernard : « Je ne me voyais pas rester assis dans un fauteuil à regarder la télévision  »

Passer du Crédit mutuel de Bretagne au Secours Catholique, le pas n’était pas aussi grand que cela pour Bernard. Alors responsable de l’économie sociale et solidaire au sein de la banque, il connaît bien le Secours Catholique qui, au moment de son départ à la retraite, lui propose de gérer l’activité microcrédit pour le Finistère. L’idée séduit le jeune retraité. « Je ne me voyais pas rester assis dans un fauteuil à regarder la télévision, feuilleter la presse ou lire des bouquins. » Pour les ménages qu’il accompagne désormais, la gestion du budget est un vrai casse-tête « à cause de la faiblesse ou de l’irrégularité de leurs revenus ». Une réalité que son ancien milieu professionnel ne mesure pas assez. « Les personnes qui ont des incidents bancaires sont trop souvent présumées incapables de gérer leur argent, déplore Bernard. On ne leur fait donc pas confiance et elles se retrouvent exclues du système. Alors qu’il suffirait de leur proposer des conditions et un accompagnement adéquat."
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Crédit photo : © Christophe Hargoues / Secours catholique-Caritas France
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